Le rapport sur l’OCE, qui dénonce les milliards de dirhams gaspillés dans des créances douteuses et autres biens immobiliers bradés à des personnalités influentes, vient d’atterrir sur le bureau de Benkirane. La commission parlementaire réclame le passage à la barre de tous les responsables.

Le Golf Royal de Casablanca a été le théâtre, le weekend dernier, d’un violent accrochage entre deux médecins de renom. Ces golfeurs notables en sont venus aux mains, sous les regards consternés des autres habitués.

D’ici la fin de l’année, le gouvernement Benkirane aura clôturé la « débasrisation » du ministère de l’Intérieur en poussant au départ à la retraite plus d’une quarantaine de walis. Pour la plupart, ils avaient été cooptés par l’ex-vizir de Hassan, avant d’être recasés à l’administration centrale.

Fouzia Imansar, nommée depuis quelques mois à la tête de la préfecture de Mohammédia, est bien partie pour débloquer tous les dossiers épineux, objet de transactions douteuses, en particulier, la salle couverte omnisport, le théâtre municipal et le centre de loisirs. Au grand dam des ripoux de la ville.

Le Centre national d’intelligence espagnol recruterait à tour de bras au Maroc. Ces services secrets ciblent les informateurs marocains pour suivre la trace des barons de la drogue.